Raël n’aura pas le droit d’exercer une activité lucrative en Valais (Suisse). Le tribunal cantonal vient en effet de confirmer la décision prise en février 2007 par le Service cantonal de l’Etat civil puis par le Conseil d’Etat en décembre de la même année. Le requérant, fondateur du mouvement raélien, étant de nationalité française, il a été admis qu’il pouvait se prévaloir de l’accord sur la libre circulation des personnes. Mais le droit d’obtenir une autorisation de séjour qui en découle peut être limité pour des raisons d’ordre public notamment. Le Tribunal cantonal a jugé que cette restriction pouvait s’appliquer dans le cas de Raël.Cette décision est susceptible de recours au Tribunal fédéral. (article paru dans “Le Nouvelliste” du 23 avril).
23 avril 2008