Nous savions que les organisations à caractère sectaire voyaient dans le CCMM une organisation dangereuse, pour elles….Nous savions qu’elles utiliseraient tous les moyens pour entraver notre action…..Nous sommes surpris qu’elles aient suscité des groupements qui n’ont d’autres buts que de nuire au CCMM, à ses associations régionales et aux autres associations qui agissent dans les mêmes perspectives que lui sans nécessairement partager toutes les mêmes valeurs. Par des courriers trompeurs aux responsables politiques, par des publications mensongères sur leurs sites Internet, par des recours administratifs ou devant la justice, ces associations tentent de porter discrédit au CCMM et à l’UNADFI, les deux associations nationales de luttes contre les dérives des sectes…
Comme les organisations sectaires, dont elles sont les avocates, ces associations avancent masquées derrière des appellations trompeuses, se réclamant de valeurs qu’elles bafouent comme la liberté de conscience… alors que, comme les organisations sectaires, elles travestissent les faits pour mieux faire passer leur message. Le site Internet d’une de ces associations qui s’intitule « CAP pour la liberté de conscience » met actuellement en cause le CCMM sous le titre « Le CCMM voit rouge » ce qui ne manque pas de nous réjouir : c’est le signe que notre action dérange.
Une de ces associations (CAP pour la liberté de conscience, pour ne pas la citer) vient d’engager une action judiciaire contre le CCMM en la personne de son Président national, l’Inspecteur général honoraire Daniel Groscolas, reconnu pour son action en faveur des droits de l’homme et des droits de l’enfant, pour l’action de démystification que réalise le CCMM sur son site internet. Toute cette agitation des défenseurs des organisations sectaires conforte le CCMM dans sa mission définie il y a 25 ans par l’écrivain, prix Goncourt Roger Ikor en définissant dans ses statuts les principes qui inspirent toujours son action :
« Le CCMM a pour but de participer à la protection de la liberté de l’Homme. Il s’oppose à toute action, collective ou individuelle, qui tend, par quelques moyens que ce soit, à pénétrer, domestiquer ou asservir les esprits, notamment ceux des jeunes. A cette fin, il mène une action d’information, d’éducation et de mise en garde du public fondée sur la déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen, à la convention internationale des droits de l’enfant et en référence aux valeurs républicaines, au principe de laïcité en particulier ».