Alors que les mouvements sectaires surfent sur la crise sanitaire et ses conséquences, et que gourou et thérapeutes foireux prolifèrent dans les villes que dans les campagnes, la Miviludes, l’organisme d’État censé lutter contre le phénomène, est fragilisée. Les associations du secteur, elles, ont vu leurs subventions s’effondrer. Enquête.