L’« Open-Arms » a finalement pu débarquer les migrants secourus dans l’île italienne de Lampedusa, dans la nuit de mardi 20 à mercredi 21 août. Comme lors des débarquements précédents, une poignée de pays, dont la France, se sont portés volontaires pour les relocaliser chez eux. Du moins ceux qui relèvent du droit d’asile…
Pour l’instant, la plupart des États volontaires, dont la France, s’estiment responsables non pas de tous ceux qui sont sur sa liste, mais uniquement de ceux qui sont considérés comme susceptibles d’obtenir l’asile. Elio Desiderio/EPA/Maxpp
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